100e article sur les 100 jours de Jules Pommiers
Eh oui cela fait 100 jours que nous nous efforçons de conserver des écoles au centre-ville de Quimper.
100 jours à l'issue desquels J'ACCUSE :
- les élus de déplorer la fuite des jeunes ménages du centre-ville et, dans le même temps, d'opter pour la fermeture des dernières écoles du coeur de la ville : aveu d'impuissance alors que l'on attend une politique volontariste.
- l'équipe municipale chargée du dossier de se montrer volontaire quand il s'agit de fermer les écoles, allant jusqu'à s'associer avec l'inspection académique, puis d'être d'une lâcheté sans pareille quand il s'agit d'engager un nouveau projet : à ce moment-là, étrangement, plus aucun contact n'est possible avec l'IA et il devient "urgent d'attendre la carte scolaire".
- l'équipe municipale chargée du dossier de ne jamais avoir ne serait-ce que penser leur projet (rappelons la tirade, maintenant célèbre, d'une personne des services techniques chargée du dossier et faisant visiter les écoles de Stang Ar C'hoat au comité de quartier : "Je ne suis pas venu là depuis 10 ans !"), de ne pas avoir envisager clairement l'accueil de nos enfants dans des conditions satisfaisantes : le hall devant servir de garderie, de dortoir, de réfectoire (bon courage à ceux qui déménageront l'école trois fois par jour !).
- l'équipe municipale chargée du projet de manquer de respect à ses administrés dans la mesure où la "concertation" s'est déroulée sans échange avec les différentes parties, a été menée par Denise Cariou, à la fois juge et partie, qui, alors qu'elle devrait être un exemple de neutralité, défend son projet bec et ongles. Je note au passage l'absence du principal concerné, M. Poignant, à l'ensemble des réunions avec les parents d'élèves (hasard de calendrier !?).
- l'équipe municipale chargée du dossier de malhonnêteté. Plutôt que d'admettre que leur projet était mauvais, mal ficelé, elle préfère résumer toutes nos interrogations sur l'avenir du centre ville, sur l'accueil de nos enfants à une querelle de petits sous. Osant modifier le projet municipal initial pour qu'il devienne le moins coûteux avec une nouvelle équation qui nous reste en travers de la gorge : 2 classes + 2 classes = 3 classes ! Osant utiliser les termes de "pédagogiquement insatisafaisant" pour nos projets de fusion quand il s'agit simplement d'un problème d'accueil. Osant parler de "problématiques" quand il s'agit de nos projets et "d'aménagements" quand il s'agit du leur.
- l'équipe municipale chargée du dossier de mauvaise foi, en résumant notre collectif à un groupuscule d'extrême-gauchistes uniquement motivé par des pulsions passionnelles. Je rappelle que, dès le départ, nous avons proposé la fusion des deux écoles, solution qui peut satisfaire toutes les parties et qui, selon Daniel Le Bigot lui même est "une solution de sagesse". Nous pensions alors être raisonnables et montrés ainsi notre bonne volonté à trouver une solution alternative... Pauvres naïfs que nous étions alors !
Malgré tout cela, nous continuons à défendre le projet de fusion des deux écoles pour des raisons que nous avons maintes fois exposées. Il semblerait, à tous, incompréhensible que le projet municipale soit de nouveau proposé aux élus (cela aussi Daniel Le Bigot l'a souligné !).
Ce qui est certain, c'est que cette histoire restera dans la mémoire collective mais sous quelle forme ?
1 -M. Poignant, le Maire qui a fermé les dernières écoles du coeur de la ville ou
2- M. Poignant, le Maire qui a manitenu les dernières écoles du coeur de la ville.
Si vous pensez que M. Poignant va fermer les écoles, tapez 1.
Si vous pensez que M. Poignant va sauver les écoles et défendre le service public de proximité, tapez 2.
- les élus de déplorer la fuite des jeunes ménages du centre-ville et, dans le même temps, d'opter pour la fermeture des dernières écoles du coeur de la ville : aveu d'impuissance alors que l'on attend une politique volontariste.
- l'équipe municipale chargée du dossier de se montrer volontaire quand il s'agit de fermer les écoles, allant jusqu'à s'associer avec l'inspection académique, puis d'être d'une lâcheté sans pareille quand il s'agit d'engager un nouveau projet : à ce moment-là, étrangement, plus aucun contact n'est possible avec l'IA et il devient "urgent d'attendre la carte scolaire".
- l'équipe municipale chargée du dossier de ne jamais avoir ne serait-ce que penser leur projet (rappelons la tirade, maintenant célèbre, d'une personne des services techniques chargée du dossier et faisant visiter les écoles de Stang Ar C'hoat au comité de quartier : "Je ne suis pas venu là depuis 10 ans !"), de ne pas avoir envisager clairement l'accueil de nos enfants dans des conditions satisfaisantes : le hall devant servir de garderie, de dortoir, de réfectoire (bon courage à ceux qui déménageront l'école trois fois par jour !).
- l'équipe municipale chargée du projet de manquer de respect à ses administrés dans la mesure où la "concertation" s'est déroulée sans échange avec les différentes parties, a été menée par Denise Cariou, à la fois juge et partie, qui, alors qu'elle devrait être un exemple de neutralité, défend son projet bec et ongles. Je note au passage l'absence du principal concerné, M. Poignant, à l'ensemble des réunions avec les parents d'élèves (hasard de calendrier !?).
- l'équipe municipale chargée du dossier de malhonnêteté. Plutôt que d'admettre que leur projet était mauvais, mal ficelé, elle préfère résumer toutes nos interrogations sur l'avenir du centre ville, sur l'accueil de nos enfants à une querelle de petits sous. Osant modifier le projet municipal initial pour qu'il devienne le moins coûteux avec une nouvelle équation qui nous reste en travers de la gorge : 2 classes + 2 classes = 3 classes ! Osant utiliser les termes de "pédagogiquement insatisafaisant" pour nos projets de fusion quand il s'agit simplement d'un problème d'accueil. Osant parler de "problématiques" quand il s'agit de nos projets et "d'aménagements" quand il s'agit du leur.
- l'équipe municipale chargée du dossier de mauvaise foi, en résumant notre collectif à un groupuscule d'extrême-gauchistes uniquement motivé par des pulsions passionnelles. Je rappelle que, dès le départ, nous avons proposé la fusion des deux écoles, solution qui peut satisfaire toutes les parties et qui, selon Daniel Le Bigot lui même est "une solution de sagesse". Nous pensions alors être raisonnables et montrés ainsi notre bonne volonté à trouver une solution alternative... Pauvres naïfs que nous étions alors !
Malgré tout cela, nous continuons à défendre le projet de fusion des deux écoles pour des raisons que nous avons maintes fois exposées. Il semblerait, à tous, incompréhensible que le projet municipale soit de nouveau proposé aux élus (cela aussi Daniel Le Bigot l'a souligné !).
Ce qui est certain, c'est que cette histoire restera dans la mémoire collective mais sous quelle forme ?
1 -M. Poignant, le Maire qui a fermé les dernières écoles du coeur de la ville ou
2- M. Poignant, le Maire qui a manitenu les dernières écoles du coeur de la ville.
Si vous pensez que M. Poignant va fermer les écoles, tapez 1.
Si vous pensez que M. Poignant va sauver les écoles et défendre le service public de proximité, tapez 2.