Paradoxes...

Publié le par Jules Pommiers

 

Le maire déplore la désertion des jeunes ménages du centre ville et dans le même temps ferme des écoles dont les effectifs permettent le maintien.

 

- À l'heure où de nombreux experts plaident en faveur de la "ré-urbanisation" des centres villes, M. Poignant défend toujours son projet de fusion des écoles du centre ville avec des écoles en périphérie.

 

- M. Poignant promet, affirme, qu'il ne peut prendre aucune décision tant que l'Inspection académique n'a pas attribué les postes pour la rentrée prochaine : QUAND IL S'AGIT DE FERMER DES ÉCOLES, IL N'A AUCUN PROBLÈME POUR PRENDRE SON TÉLÉPHONE ET NÉGOCIER AVEC ELLE !!!

L'année dernière, Denise Cariou s'offusquait des fermetures de classes décidées par l'Inspection académique, AUJOURD'HUI C'EST LA MAIRIE QUI FERME LES ÉCOLES !!!

 

- M. Poignant prétend qu'en fermant des écoles il va consolider le service public.

En 2004, deux écoles sont fermées pour les mêmes raisons. Bilan : sur 8 classes fermées, trois seront ouvertes dans les écoles voisines pour absorber les flux d'élèves. Aujourd'hui, il n'en reste qu'une. LES FERMETURES NE CONSOLIDENT PAS LE SERVICE PUBLIC, ELLES LE FRAGILISENT ENCORE PLUS !!

 

- Nous ne parlerons pas du bien-être de nos enfants, des difficultés que pourraient rencontrées certaines familles si nos écoles fermaient car auprès, de celui qui promettait "de remettre l'homme au cœur de l'action politique", cela n'a jamais fait écho.

 

Deux mois que nous répétons tout cela et qu'en retour M. Poignant nous prend toujours pour des imbéciles avec le MAG 5, les Carnets de Quimper... et maintenant il cherche maladroitement à jeter l'opprobre sur notre mouvement avec des propos indignes d'un élu de la République.

Publié dans Réflexions

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